Crise silencieuse dans le communautaire : une nouvelle étude tire la sonnette d’alarme.
1 travailleuse/travailleur sur 3 vit dans la précarité.
CertainEs doivent même recourir aux services qu’ils/elles offrent eux-mêmes… Une réalité inacceptable dans un secteur aussi essentiel.
Sous-financement chronique, augmentation des demandes, complexification des enjeux, surcharge émotionnelle, salaires stagnants… : c’est tout notre filet social qui s’effrite.
Pour lire l’article, suivez le lien dans la publication originale du ROCLaurentides
Et pourtant, des solutions existent.
Un financement à la mission adéquat pour les groupes est indispensable pour assurer la stabilité des organismes communautaires autonomes et des travailleuses et travailleurs.
Rappelons-nous que nos organismes d’ici ne se délocaliseront jamais aux États-Unis et qu’ils contribuent à l’économie locale, régionale et québécoise.
Rappelons-nous aussi qu’investir dans le préventif, c’est économiser dans d’autres sphères — notamment dans notre système de santé.
Les conseils d’administration ont aussi un rôle clé à jouer pour mettre en place :
→ Des conditions de travail décentes
→ Des politiques internes favorisant le bien-être au travail
Il est temps de passer de la parole aux actes.
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